Dossier sur les quatre versions de Body Snatchers
L'album est une grande bouffe, où l'on picore ce qu'on aime et où l'on laisse le reste sur le bord de l'assiette. Mais le reste en question n'est pas bien épais.
M.I.A allege et ouvre sa recette pour accoucher d'un album physique, jouissif et rythmé en diable.
La clé, c'est de ne pas en faire des tonnes : néanmoins, la sobriété ne sauve pas complètement ce film parfois confus...
Monologue résonne alors comme un album très intime, à la limite de la contemplation, une réflexion musicale zen qui semble survoler des paysages marqués par la sagesse de l’âme.
Avec son troisième album, Mew est tout simplement un des meilleurs groupes de rock des années 2000. A écouter absolument en ronronnant à n'en jamais finir.
Sandrine Kiberlain, c'est qui, c'est quoi ? Une actrice, une chanteuse ? Deux albums réussis vous aideront-ils à vous mettre sur la voie ? J'ose l'espérer.
Une tentative louable et de bons moments, mais des compositions un peu trop faibles pour convaincre.
Un univers à la fois intime et poétique, pour ne pas dire romantique, où la mélodie prend tout son sens et où l’on redécouvre un sens harmonique, une grammaire clairement marquée.
Moyoco Anno se diversifie et passe du jôsei au shôjo avec Chocola et Vanilla. Attention, moins mauvais qu'on ne peut le penser.
Après Ground Control, Massive apporte de nouveau quelques innovations dans le monde des RTS avec World in Conflict.
White Chalk est un moment d’évasion pur au travers duquel PJ Harvey se dévoile fragile, sensible, montrant qu’avec trois fois rien, on peut réaliser des instants d’une incroyable intensité.
Un spectacle de clown à la candeur rafraîchissante
Une nouvelle venue de la chanson française. Taillée pour la radio et pour rien d'autre.
Le label Capitol proposait au MK2 Bibliothèque de Paris, une projection de Heima pour la presse et quelques heureux gagnants ainsi que quelques titres en acoustique de Sigur Rós.
Michael revient et il est pas content. Oh non, oh non...
Le retour de l'ange d'Erica Sakurazawa. Pas mieux que le premier.
Que vous soyez ou non un adepte de la littérature issue de Spirou magazine, vous pouvez difficilement passer à côté d'une bande dessinée culte comme Yoko Tsuno.
Sans grande conviction, Filippi et Liberge déroulent un nouveau chapitre d'une saga qu'ils gagneraient probablement à délaisser au profit de leurs autres travaux.