Une version impertinente et hardcore de l'univers des super-héros, où la violence et le plaisir immédiat remplacent l'altruisme et la volonté d'embellir le monde. C'est tellement bon que c'en est inquiétant.
No, Virginia... est le troisième album studio des Dresden Dolls et un album qui demande du temps à l'auditeur avant de se dévoiler.
Dans la série "Secrets du Vatican", Jean-Luc Istin avait déjà fait ses preuves avec L'Ordre des Dragons, mais n'étant pas du genre à se contenter d'une seule bonne note chez Krinein, il vient en chercher une seconde.
Interview automatique de Alex Muller Ramirez, guitare, synthés et l'une des têtes pensantes d'Equus, groupe suisse qui a réalisé sans doute l'un des albums les plus excitants de ce début d'année !
Les 400 coups version 2008, où l'équivalent d'Antoine Doinel se fait piquer la vedette par un duo inattendu. Imparfait mais pas inintéressant.
On vous voit venir : vous croyez tout savoir sur l'incroyable Hulk. « Meuh oui, c'est un gros gars vert avec des muscles ». Et bien sachez qu'au début il était gris, et qu'aujourd'hui il est rouge. Alors au lieu de faire les malins, potassez.
Guy Lefranc, reporter sans peur et sans reproche, part guerroyer contre les nazis en Grande-Bretagne. Pour l'originalité, passez votre chemin. En revanche, les amateurs de classicisme franco-belge sont les bienvenus.
Le chlore, c'est dégueulasse. Mais Le goût du chlore, c'est excellent. La faute à un jeune auteur nommé Bastien Vivès.
Philippe Jaroussky en mettant en avant la carrière de Carestini souligne un peu plus la qualité instrumentale de sa voix : couleurs chaudes, sensuelles, une pureté et une grande clarté de diction...
Marc Levy adapté par sa sœur, c'est l'assurance d'un texte respecté dans toute sa tendresse (mièvrerie ?) badine, rehaussé par la présence de très bons acteurs. Transparent mais distrayant.
Des concerts oubliables et d'autres exceptionnels. Une année entre soleil et pluie. A tous les points de vue.
Rockferry nous plonge au cœur des années 1960 et 1970, du rhythm’n’blues quand celui-ci portait encore fièrement toutes ses lettres, une réelle noblesse. La soul...